
Notre histoire
Le 1er mai 2006, les Centres Jean Lapointe deviennent Le Grand Chemin. L’organisme a changé de nom, mais a conservé sa vocation d’origine : aider et outiller les jeunes du Québec à apprécier un mode de vie sain, sans dépendance. L’organisme a aidé plus de 4 000 jeunes jusqu’à présent. Les trois centres développent leur expertise depuis maintenant 30 ans.
La Fondation Le Grand Chemin a été mise sur pied en 2006 pour financer exclusivement les centres Le Grand Chemin.
Cette aventure a débuté en 1988…
Considérant l’ampleur de la problématique de la consommation de drogues et d’alcool chez les jeunes du Québec et le peu de ressources disponibles, la Fondation Jean Lapointe, de concert avec le Ministère de la Santé et des Services sociaux de Québec, décident d’établir un partenariat public privé visant à offrir des services à cette clientèle cible. « Les Centres Jean Lapointe pour adolescents Inc. », autrefois appelé « La Maison Jean Lapointe pour adolescents » a donc vu le jour en avril 1989 dans la ville de Québec. Dès octobre 1989, des jeunes avaient accès à un programme de thérapie en externe.
En automne 1992, devant la demande toujours grandissante en traitement, le centre Jean Lapointe pour adolescents décide de transformer son centre de jour de Québec en centre d’hébergement pouvant accueillir 10 jeunes. Simultanément, un centre d’hébergement à Montréal voit le jour, ayant lui aussi une capacité d’accueil de 10 adolescents.
En septembre 1998, le Centre Jean Lapointe pour adolescents de Québec augmente sa capacité d’accueil de 10 à 14 jeunes.
En octobre 1999, le Centre Jean Lapointe pour adolescents de Montréal augmente sa capacité d’accueil de 10 à 12 jeunes.
En octobre 2000, soit un an plus tard, un troisième Centre Jean Lapointe pour adolescents voit le jour en Mauricie/Centre-du-Québec dans une volonté de mieux desservir les jeunes et en conformité avec les orientations régionales en alcoolisme et toxicomanie ainsi qu’avec celles du Plan de consolidation régional 1999‑2002. La capacité d’accueil est de 12 adolescents.
Au printemps 2001, en collaboration avec l’Université McGill, nous avons mis en place un projet pilote portant sur le jeu pathologique. Ce projet vise à dépister nos adolescents en thérapie et à les inscrire dans un projet de recherche. Un support clinique, sous forme de formation, nous a également été fourni par l’Université McGill pour le traitement des jeunes qui ont la problématique du jeu pathologique.
En avril 2003, pour obtenir l’uniformité en nombre de places dans les trois Centres Jean Lapointe pour adolescents, le centre de Québec modifie sa capacité d’accueil de 14 à 12 jeunes.
En avril 2005, les Centres Jean Lapointe initient un projet de recherche qui sera dirigé par Madame Karine Bertrand, P.A.D. psychologue chercheure. Il a pour objectifs d’élaborer quelques statistiques sur la problématique de la toxicomanie, de l’alcoolisme et de dépendance au jeu pathologique chez les jeunes québécois.